Il faut être heureux, il faut s’ouvrir au bonheur,
Vraiment, ne serait-ce que des mots en couleurs,
Dès que je perçois une éclaircie, une précieuse lueur,
Aussitôt une ombre vient masquer cette douce chaleur.
L’existence m’est injustement cruelle,
Ce dimanche, cette journée devait être belle,
Subitement, blessé par de petites flèches réelles,
Qui touchent leur cible et deviennent mortelles.
Pourquoi tant de jalousies et de mesquineries,
Qui viennent petit à petit miner gravement une vie,
Pauvre monde, que fait-on de l’amour tant chanté,
De la fraternité, de l’amitié qu’on ne cesse de bafouer.
Je retourne à ma rêverie en espérant voir plus clair,
Méditer encore, en espérant soigner ma pauvre chair,
J’ai eu la faiblesse de croire en la noblesse de l’humanité,
Je me suis trompé, à présent je dois faire face à la réalité.
Vraiment, ne serait-ce que des mots en couleurs,
Dès que je perçois une éclaircie, une précieuse lueur,
Aussitôt une ombre vient masquer cette douce chaleur.
L’existence m’est injustement cruelle,
Ce dimanche, cette journée devait être belle,
Subitement, blessé par de petites flèches réelles,
Qui touchent leur cible et deviennent mortelles.
Pourquoi tant de jalousies et de mesquineries,
Qui viennent petit à petit miner gravement une vie,
Pauvre monde, que fait-on de l’amour tant chanté,
De la fraternité, de l’amitié qu’on ne cesse de bafouer.
Je retourne à ma rêverie en espérant voir plus clair,
Méditer encore, en espérant soigner ma pauvre chair,
J’ai eu la faiblesse de croire en la noblesse de l’humanité,
Je me suis trompé, à présent je dois faire face à la réalité.
PS : Ceci n'est pas un texte que j'ai écrit mais plutôt un poème trouvé sur internet, je le trouvais à la fois vrai et triste.